Les cordes à linge

Ce conte est l'histoire  d'une femme qui a vécu dans la Vieille Ville de Jérusalem il ya un siècle.

Le lavage des vêtements pour une famille était alors une corvée de difficulté presque inimaginable.

Ainsi, après six heures de travail éreintant, cette femme au foyer pieux accroché son linge à sécher au soleil, sur les deux cordes à linge qui ont été tendus entre des poteaux et se rendit sur toute la longueur de la cour.

Cet après-midi la , un des voisins de cette femmes est venu dans la cour commune sur le chemin du retour.
Pour une raison quelconque, elle a vu les deux cordes à linge avec tout le linge pendu qu'y l' empêchait de marchait vers sa maison, comme s'il n'y avait pas assez de place pour elle de passer par dégagée. 

 

 

Au lieu d'être  compréhensive et de se baisser pour un moment pour passer à travers, et de garder ses bonnes relations avec son voisin, son yetzer son mauvais penchant lui a incité, et elle éclata en un accès de colère et de vengeance.
Elle a couru dans sa maison, a attrapé une paire de ciseaux, se précipita dans la cour, et a couper les deux cordons.
La coure , qui est maintenant propre et lumineux après tout le travail de la première femme, est tombé avec un bruit sourd dans la terre de la cour sans pavée.

La femme du linge qui a  entendu le bruit, se précipita pour voir ce qui s'était passé, et a été assommé.
À ce moment-là, elle se tenait devant une épreuve du feu. Selon la nature humaine ordinaire, elle aurait dû commencé à hurler et maudire  son voisin et son acte horrible.
Le mauvais penchant de cette femme pieuse était près d'exploser comme un feu qui fait rage.
Mais dans un moment béni soudaine, elle a puisé la force de la source de sa foi pure.
Après quelques instants tremblantes, elle a surmonté cette épreuve douloureuse, se mordit les lèvres, et le jugement le ciel justifiée, en se disant à elle-même, "il faut que je mérite pas cela. Que ce soit une expiation pour moi!"

Donc tranquillement elle ramassa le linge tombé, lava la saleté, la coupe liée clothesline de retour ensemble, et a pris le linge à la grande cour du public à une certaine distance, où elle a de nouveau il a raccroché. Dans la soirée, elle a apporté la maison linge sec, de bonne humeur, mais l'incident n'était pas encore terminé.
 

Lorsque son mari est venu à la maison après la prière de l'office du soir, elle ne  lui dis pas ce qui s'était passé  dans la cour! Ce test-rien à envier à la calomnie ou le bavardage était-peut-être même plus grande que la première, parce que les rabbins enseignent: «Si vous êtes troublés, il parle à quelqu'un." Combien plus grande encore était son test parce qu'elle ne pouvait même s'attendre à des incidents similaires à l'avenir de cette mauvais voisin. Mais elle-même contrôlée une deuxième fois et ne dit rien à son mari.

Personne n'aurait jamais connu de toute cette affaire n'avait pas la femme qui avait agi hors de contrôle viennent à la maison de son voisin cette nuit-là, honteux de son comportement signifie, et a demandé pardon pour l'incident laid.
 

La femme pieuse lui pardonnait de tout cœur, et au cours de leur conversation qui a suivi, il s'est avéré que elle avait refait le linge ailleurs et n'avait même pas mentionné l'incident à son mari. L'autre femme a été surpris d'entendre cela, déplacé par la patience de son voisin, dit-elle, "Que Dieu aide moi à apprendre à me contrôler, comme vous l'avez fait dans mes moments de test!"